Olivier Maulin est venu signer son dernier roman « La fête est finie » à la librairie.
Dans le genre bras cassés, Totor et Picot ne font pas dans la dentelle. Avec des CV pareils, où « connaissance exhaustive de l’œuvre de Bach » figure en petit 1, et « pas grand-chose » en petit 2, on n’en voudrait même pas pour garder son camping-car. La preuve : le jour où, par miracle, on le leur propose, les deux vigiles trouvent le moyen de se le faire piquer… pendant qu’ils dorment dedans ! Ils se réveillent en pleine vallée alsacienne, dans laquelle une poignée d’irréductibles « décroissants » s’apprête à prendre les armes contre les bétonneurs. La fête est finie : la guerre est déclarée.